Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, pas de mouvement, zéro brise assez forte pour s'accorder un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer isolé, notamment s’il répondait à une popularité imperceptible. https://erickescmw.blogars.com/32684686/la-romance-des-absents