La mer s’étendait à bien perte de vue, une masse mouvante d’ombres et de reflets argentés marqué par la lumiere froide de séléné. Le navire fendait les vagues avec une lenteur diversifiée, son équipage silencieux sous l’immensité célestes. À la proue, le capitaine observait les multitude, recherchant dans leur agencement https://arthurcmrvy.bloggadores.com/33065380/la-chorégraphie-astraux