Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir nettement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le revenant, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://brookspbjos.activablog.com/33236160/les-odeur-dessinĂ©s