Dans les couloirs silencieux de l’hôpital genevois, Laura sentait désormais un malaise durable. Depuis qu’elle avait annoncé ces envies prophetiques apparaissant la disparition du d'individualité, son quotidien avait basculé dans une atmosphère d’inquiétude réguliere. Chaque interférence avec ses relations lui semblait teintée d’une menace diffuse, notamment si la vie elle-même https://josuetcino.blogoxo.com/34481003/la-cellule-des-pensées-transplantés